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Merci de raconter vos histoires de chasses, bien sur sans parler de nombre. Sinon merci Web de mettre ce message à la poubelle.
Si ce message plait ou fonctionne, je vous raconterai une histoire à la cabane un soir que je referai jamais.
Amicalement david 47
A vos claviers les palous.
Salut David, les miennes je me les réserve pour "Pal&Trad"...!
Meilleurs souvenirs et bien des choses dans ta famille !
Merci lou mais celle la, elle sera dans les anales je pense.
A+ DAVID47
Que des histoires vraies ? Ou la
la ont va se marrer.
Pas de mouvements sur ce post, je vais vous racompter mon histoire du 22 octobre 2015.
Ma cabane est un poste qui se déclare au fusil, car j’ai un petit bois, on a du mal à les garder. Nous avons aussi 2 sols pour les jours ou le passage est plus calme ou en fin de saison.
Ce jour la, une palombe se promener dans le sous bois et on décide de ne pas la tirer et de la prendre au nouveau sol. Il est 16h45 , elle navigue de petit chêne en petit chêne sans trop s’intéresser au sol. Oups elle tombe sur un chemin d’appeau et plus de palombe. On décide démonter car il est 17h30 et que rien ne bouge depuis la fin de matinée. Je descends les fils, les soignent et mon oncle puis mon collègue s’occupe des palombes. A trois en 40 min tout le monde est nourri et à l’abri jusqu’au lendemain. J’arrive proche du fil en bordure du sol pour rentrer les poulets, les deux rentrent sans problème, petit coup d’œil à la cage nickel. J’arrive sur le chemin du fil et là ma palombe qui mangeait sous la caisse du fil. Elle s’envole vers la garenne de chêne à droite de la chasse. Sur le cul je continue mon parcours en marmonnant dans mes dents la coquine. On termine de démonter et je rejoins mes deux acolytes et je m’empresse de leur raconter mon histoire. Mon oncle me dit, tu déconne et je lui répond véridique. Il finit de gaver et on se retrouve à la cabane pour finir de ranger puis l’on va jeter un coup d’œil au sol. Il est 18h15 et on joue cette palombe que j’aperçois dans un petit chêne à 30 m du sol. Elle est là, appelle, la cage au bout de 15 min on décide d’abandonner pour la retrouver le lendemain. Étant sur place ce soir là, je décide de rester et mon oncle puis mon collègue prenne la direction des garages et partent.
Moi je relance au sol, la cage, appelle, appelle, appelle plus fort, le sémec, j’appelle. Et la sur une branche en dessus du sol la voilà. Oula, la pression monte. Pas un œil sur le sol, elle va en dessus de la cage sur le grillage complètement. Et elle regarde la palombe de volière, puis tombe dessous dans la fougère. Et je me dis, s’est foutu , puis au bout d’une dizaine de minutes, j’aperçois ma palombe arrivant sur le chemin des appeaux. Elle vient au bout du sol mais pas sur le sol , elle s’arrête au câble du bâton du bout du sol. Puis elle reste là et regarde puis s’envole dans le cœur d’un petit chêne à gauche du sol et la je me dis s’est pour la nuit. Car elle se met en boulle, et moi je roucoule , le sémec, je veux pas abandonner et j’y crois encore. Il est 18h55.
Cette palombe m’écoute, me regarde et regarde en bas vers le chemin des appeaux. Je me dis elle va retombé sur le chemin, rebelote , pas manqué elle tombe d’une glissade vers ce chemin. Nous avons un couloir qui permet d’aller à ce chemin sur le devant de la chasse, je décide d’aller voir cette palombe qui doit encore manger sous la cage du pigeon à mon avis. J’arrive doucement à la porte regarde à droite et à gauche rien. Je décide de revenir au carré du filet pour appeler ma palombe, et la en marchant doucement j’arrive à 5m du carré ma palombe qui s’envole dans le couloir, elle tente de passer entre les fougères, retombe par terre, et s’envole vers le carré ou je l’attrape à la main contre de la brande. Sur le cul, comme vous pouvez le deviner. Je regarde ma palombe qui est belle, et la découvre 2 bagues bleues à chaque pate. Au putain, il s’agit de la palombe de la volière de l’autre sol qui s’est échappé il y a 2 jours. Je prends vite mon portable pour prévenir mon oncle qui ne me croit pas bien sur. Et raccrochant je lui dis que j’allais la remettre dans la volière du sol du haut qui a été réparé.
Cette histoire de jeune chasseur, je tenais à vous la faire partager car l’on ferme rarement nos sols à mon poste et je peux dire que j’ai attrapé une palombe vivante avec mes mains. Elle est venu à l’endroit ou je l’appelai depuis presque 1h, il était 19h15 la nuit commencé à pointer son nez.
Cette histoire sera graver à tout jamais en moi et je la raconterai à mon petit Nolhan à qui je compte donner ce beau virus qui est la maladie bleue.
Merci de m’avoir lu.
Cordialement DAVID47
Salut David,
A la lecture de t'on histoire j'avais comme eu une intuition de déjà vecue, trop long a raconté le jour de 15 aout 2013 ou une palombe étrangère a mon cheptel et rentré dans la salle a mangé.
Encore cette saison elle a remplie pleinement son rolle dans la volière du sol comme quoi :o)
Bise a Nolhan.
Salut David!
J'ai bien suivi tes péripéties... Plus j'avançais dans la lecture, plus je pensais à une palombe échappée de quelque part !
CQFD !
Comme quoi et malgré elle, en voilà une qui t'aura donné de l'émotion une fois de plus... La coquine !
Bons souvenirs !
Bonjour bonjour
Difficile à raconter mais on peut toujours essayer.......
Le vendredi soir rien de prometteur aux dires de Jean-Michel mais le plaisir de passer la journée du samedi en compagnie de passionnés ( monsieur et madame) nous suffit largement. Et pour ce qui est des palombes même si nous n'en voyons pas, nous sommes habitués.
5h30, nous prenons la route direction Brocas sous une pluie fine qui confirme que la journée pourrait bien ne pas être des meilleures.
7h30, le jour se lève et la pluie s'estompe. Nous approchons de Roquefort (Landes) , les premiers vols de bleues se lèvent et prennent la direction des montagnes. En 1/4 d'heure, nous en voyons plus que nous n en avons vu dans toute la saison..
Petit arrêt à Roquefort pour le pain et les croissants et puis plus une palombe jusqu à Brocas mais à l entrée du chemin de la palombiere un vol de rodeusese nous accueille. Ah peut-être que.....
8h00, nous voilà arrivé, plus de pluie.
Bonjour bonjour. Café.
Et là, commence le balai des vols de retour mais hors chasse. Des centaines et des centaines qui nous narguent. Quelques unes rentrent sur la chasse mais sans donner suite.
11h00, un vol qui rentre dans le bois de pin d à côté.
Jean-Michel quitte le pit, enfile la veste, le béret vissé jusqu aux oreilles, les mains enfouies dans les poches et direction les couloirs. CHUT CHUTTTTT.....
L artiste rentre en scène, roucoule, roucoule, roucoule.........
PATIENT, PATIENT, PATIENT L AMI.....
Les coquines n ont pas l air bien décidées à descendre. Elles jouent à cache cache dans les fougères . Remontent dans les arbres puis recommencent à descendre dans les fougères .....
PATIENT, PATIENT, PATIENT L AMI ....
Les minutes passent, longtemps longtemps et enfin les premières sur les sols. Elles se font peur, remontent dans les arbres, redescendent, remontent.....
PATIENT, PATIENT, PATIENT l AMI .....
Midi est passé depuis bien longtemps et pourtant nulle faim, nulle soif. Nous nous abreuvons, nous rassasions du spectacle qui nous est offert.
13h peut-être, elles semblent plus confiantes. 1,2,3.........10...
Serait-ce le grand coup ?
PATIENT, PATIENT, PATIENT L AMI
Un oeil sur le sol des chênes , l autre sur celui du milieu mais les deux bien rivés sur SES invités qu il délecte à volonté, le regard humide certainement . Les bleues ont bel et bien investi les lieux, toutes celles qui passent aux alentours se jettent sur le bois. Difficile à dire combien sont là. Mille, deux milles, trois peut-être ? Dans les arbres, dans les fougères, sur les sols, partout partout....
Lui seul sait quel objectif il s est fixé
PATIENT, PATIENT, PATIENT L AMI ...
14h déjà, deux heures et demi que cela dure, que de plaisir. Il nous amuse, elles nous amusent et il l'a bien compris.
Le maestro est aux commandes du sol du milieu qui semble être celui que ces dames préfèrent. Ses mains, moites on l imagine, vont de ses poches au levier.
L homme est serein, calme, conscient de ce qu il s apprête à faire vivre à sa femme et ses amis. Et là.........?
SECRET DE PALOMBIERE
Les secrets sont faits pour être bien gardés par ceux qui les détiennent. Ils sont parfois rompus et s ils le sont ce doit être par ceux qui les initient .
Alors, Monsieur Jean-Michel , libre à toi d écrire la fin de ce récit....ou pas...Nous nous savons.....
Encore merci pour ce moment de convivialité qui, comme l a dit le fiston ( passionpalombe ), n est pas prêt de quitter nos mémoires .Ce sont des journées comme celles la qui participent à entretenir la flamme de la passion .
Ironie de l histoire , le lendemain, de retour dans le lot où les palombes nous ont désertées, nous passons une des plus belles journées de la saison .
Adiou
BONSOIR
Je me permet de remonter se post . Pour mon AMI . Qui mas envoyer ses écris
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