20 sur 20 RORO, et je donne le brevet au petit PALOU..

le message ici ...Bravos a vous!!!!!!!!!!!!!!!!Encore car que du bonheur.

Après un accueil comme ça au réveil, pas possible de faire la gueule. D'ailleurs, même le soleil matinal est content. Il brille de tous ces feux........

Alors, merci Roro, merci Joan! ... BONNE JOURNEE à tous.........

Ha que ça fait du bien !!!!! Merci pour ces belles rimes. Il y a quelques années , j'avais écrit un poème sur l'arbre ,le voici:


MON ARBRE, MA VIE
==============

Puisse l’arbre grandir encore,
D’autres feuilles vont éclore,
Celles qui sont tombées
Ne repousseront jamais.
Resplendissant de verdure,
Il porte haut sa parure,
Le soleil et les orages
N’altèrent pas son image.
Ses racines ne tremblent pas
Sous la pluie et les frimas.
Les jours, les mois, les années passent,
Les souvenirs s’entrelacent,
Le vent ne peut les effacer,
La sève est là pour les protéger.
Le printemps n’est plus si tendre,
L’été se fait attendre,
L’automne est moins doré,
L’hiver mordant est arrivé.
Le corps usé mais toujours droit
Il sait que le grand froid
L’emporte à tout jamais
Vers la lumière sacrée.
Tombe la dernière feuille,
Viens que je te cueille,
Tu resteras le reflet
De l’être que j’aimais.

José

Bonjour à tous.
Un jour un vieux monsieur m'a dit:Il faut respecter les arbres,car ils sont somme la mémoire.
Si tu graves tes initiales sur u n jeune arbre, quarante ans aprés,tes initiales seront toujours là,et même encore plus marquées.
Si tu graves tes initiales sur un vieil arbre,tes initiales seront a peine lisibles,et disparaitrons trés vite.
La mémoire de l'homme se souvient trés bien des évènements vécus durant la jeunesse,et oublie trés vite les évènement de la veille
(sauf peut être le premier jour à la palombiére avec grand pére) ...

Jo !

Super les gars !

Rien n'est a jeté ... comme dans l'Arbre!

merci Palou33, Jo, et vous tous et à la prochaine... quand cela nous prend!

hé hé à la prochaine fois roro :)

Rien n'est à jeter... sauf mon orthographe!!!

Excusez moi pour ces fautes que je fait régulièrement et pourtant j'ai un correcteur et je me relis!
Rien à faire je ne les vois que le lendemain???? je pense que je suis un peu étourdi, dyslexique et que le fait d'écrire sur un clavier n'arrange pas le problème...

Espérons qu'il n'y en a pas ce coup ci...

Nos trois mousquetaires sont intervenus! Heuuuuuu!, ils n'étaient pas quatre? (en manque uno!)

En tout cas, merci à vous!

Une petite pour expliquer ce vice...

Écrire

Coucher sur la feuille blanche
L'idée que l'envie fait naitre
ordonner les mots du maître
la première strophe s'enclenche

Cette cérébrale  gymnastique
Fait vite passer le temps  
Bien que la pensée se tend
Ecrire en ordre c'est magique!

Mais l'ordre n'est pas la poésie
Faut encore aux mots, la magie
La magie qui fait  l'harmonie
Sans oublier le sens du récit

Fleurs, femme, désir, flamme,
Des mots qui ne supportent le blâme
Automne, palombes, attente, posée
Font un temps oublier les premiers...

Écrire sur l'oiseau... futile?
Pourquoi  lutter contre la passion
Écrire sur l'imaginaire... la migration
Mieux que l'ennui, lui est inutile!

roro

le message ici ...Pas de problème Roro tu es le plus fort mais ne t'endort pas car la concurrence est rude.

Hé bien Roro,!

Voilà que tes dernières strophes,
A bien y réfléchir, me filent le bourdon!
Vu l'état de la forêt et même si nous ne le voulons,
L'évidence est là, c'est la catastrophe.

On a beau gémir ou bien pleurer,
Les faits sont là, faut pas se leurer!
Alors y aller, oui, nous irons,
Mais je ne crainds que ce soit à reculons.

Quelle misère encore nous attend,
Aprés tempêtes chenilles et scolytes,
Administrations, responsables en état latent,
sont toujours jamais là quand on les attend.

Je me mets à rêver au 14 juillet,
Anniversaire de tous ces révoltés,
Qui ne sont plus de ce monde depuis longtemps,
Et qui se demanderaient "il est ou le bon temps?"

lou, révolté de l'inertie administrative, pleine d'incompétents!

La Révolte
========

France, ma belle France, où est ton drapeau?
Celui qui fut dressé sur le toit de la bastille,
Il flotte devant moi sur ce petit tableau,
Sur une barricade, brandi par une fille.
Mon pays, ma patrie, où est ta marseillaise?
Celle que je chantais sur les bancs de l'école,
Celle qui est sifflée et qui met mal à l'aise,
Par des hordes sauvages venues en métropole.
Ma terre, ma campagne, que font-ils de toi?
Qui sont ces monstres de fer et de feu
Qui te saccagent et déchirent à la fois
Pour étendre un ruban au bitume rugueux.
Mon arbre, ma forêt,où est ta belle verdure?
Celle recherchée aux heures chaudes d'été,
Qui pose son ombre sur ce coin de pâture
Où l'animal repu vient se reposer.
Mon âme, ma vie, qu'ai-je fais de vous?
Suis-je devenu l'être irrespectueux
Comme ces enfants qui ne veulent plus de nous
Porteurs d'avenir aux lendemains brumeux.
Liberté, Egalité,Fraternité,
Des hommes sont morts pour vous écrire,
Aujourd'hui vous êtes baffouées
Par des esprits qui ne savent plus lire.

José.

Quels plaisirs de vous lire à 5 h de matin.

Chapeau, les gars.
Si Lou s'y met, alors là, la concurrence va étre rude.

Bravo les poétes.

Oui Leglaude un de plus au club ... tu as remarqué Jo? il a succombé au virus! espérons que cela l'aidera à surmonter son spleen...
Allez Lou çà va passer , la nature a une échine solide et elle finira par gagner, les pins reprendront ou d'autres les remplaceront... oui je sais cela pousse pas vite mais ils repousseront!

Bonjour les amis, avec son âme de conteur , je comprends que notre LOU succombe facilement au virus. Bonne journée à vous tous.

Bonjour, vous plaisantez ou quoi? Je n'ai même pas la rime dans les vers! Mais j'apprécie votre tolérance, merci!

Comme pour les devoirs quand j'étais jeune, certains mettaient une heure, moi il me fallait tout le jeudi après-midi!... mais c'est que je pensais à autre chose!

lou modeste,
quel talent !

Vu le temps j'ai révé ...

Le sol

Elles sont là, chuuutt.... bouges pas!
T'inquiètes dit le vieux elles ont posées
Mais elles sont à la pointe du bois.
Viens ont va les ramener...

Nous voilà partie dans l'obscurité 
Le  tunnel n'en finit pas , enfin il s'élargit 
L'appeau de cabane au son "huilé"
Lui, est calme, par sa clûme assagit 

Le vieux murmure : je vais les chanter...
Toi actionnes le balancier de la volière 
Pas trop souvent! Tu mettrais la pétodiere...
L'oeil collé à l'orifice j'y vais avec doigté...

Tout à coup un son imperceptible d'abord
Monte avec force dans le corridor 
Le frisson me prends finit par troubler mes yeux 
La mélodie entêtée par magie sort du vieux!

L'oiseau à sa main est immobile...
Comme moi, fasciné il écoute.
Le chant s'est arrêté ... il devient mobile !
Le bras est monté puis fait sa route

La haut, cela commence  à bouger...
Le chant mélodieux du vieux, les a ramené
Maintenant je les vois , elles sont figées
Le son des ailes les a hypnotisé.

Le silence... on lâche le poulet
La tension retombe,  elles sont fascinées...
J'ouvre le robinet voilà le son aigrelet 
Ça y est enfin une s'est décidée...

La véritable attente insoutenable débute...
Cela descend! elles sont là à picorer 
D'autres plus loin viennent se brancher!
Impatient je regarde le vieux! Je débute...

Lui, il sourit ,  lentement allonge le bras 
Je recolle mon œil, j'essaye de compter...
Mais qu'est qu'il fout? Il attend quoi pour fermer?
La dernière descend! ... Enfin le branle bas!

Et bien

je ne dirais qu'un mot


CHAPEAU BAS, M. RORO

le message ici ... !!!!!!

le message ici ...

le message ici ..Roro ,....Chapeau pour ton rêve!et ton poème!!!!

Roro...... Chapeau!!!!!

le message ici ...RORO du reve a la realitè BRAVO pour ton poème a+

Tienar ce temps calme je vous poste ma dernière ... Je rêve un peu en ce moment.

Voiles...

Voiles, blanches, les bateaux sont en rang
Égayent le bleu profond de l'océan
Le vent aura vite fait de les disperser
Le départ est donné, cela va s'étirer.

Voile, blanc dans le ciel bleu
Masque la lune qui traîne un peu
Éole s'éveille, retire la cape 
Les vagues coloreront la nappe

Voile, qui tombe sur les yeux de l'enfant 
La fatigue à vaincu l'enervement
Un souffle agite ses fins cheveux
Le sommeil va  lui fermer les yeux

Voile qui cache le lit douillet
Protège aussi la peau de bébé 
Ce vent marin ramène la fraîcheur
Mais aussi  l'insecte piqueur 

Voile écharpe d'oiseaux bleus
Avance vite suivit par nos yeux
Les appelants se démènent 
La bourrasque les ramène 
 
Voiles, nues, toile ou trouble du moment
Voiles qui jouent ou luttent avec le vent
Voiles moments figés 
Voiles moments passés 

roro

le message ici ... Des rêves...de la rime ,un poème ... Roro ...Bravo.

Roro, tu aurais pu placer "la guêpière", mais c'est très bien comme ça! Merci!